Noyade
Abandonné dans un océan de tourment,
Dans une immensité si noire et terrifiante,
J'essaye en vain de lutter contre le courant,
M'accroche à la bouée d'une utopie mourante.
Mais les coups du Destin dans mon corps et radeau,
Ont percés mille trous, de grandes plaies béantes
Qui vomissent ma vie et se gorge de maux ;
Je sens l'eau s'infiltrer en ma chair faiblissante
Et emplir mes poumons d'un liquide suintant,
Oui, Peu à peu je sombre en de flots dévorants.
Dans une immensité si noire et terrifiante,
J'essaye en vain de lutter contre le courant,
M'accroche à la bouée d'une utopie mourante.
Mais les coups du Destin dans mon corps et radeau,
Ont percés mille trous, de grandes plaies béantes
Qui vomissent ma vie et se gorge de maux ;
Je sens l'eau s'infiltrer en ma chair faiblissante
Et emplir mes poumons d'un liquide suintant,
Oui, Peu à peu je sombre en de flots dévorants.